Exposition virtuelle
Les équidés dans la Guerre
L’exploitation des équidés durant le conflit
Que ce soit les ânes, les mules ou les chevaux, aucun n’a été préparé pour le front. Ils ne sont pas entrainés et on constate rapidement une dégradation physique importante du aux marches forcées, à l’attelage, au stress des combats et aux blessures.
Qu’ils soient utilisés comme monture, pour un attelage ou pour porter des charges, il devient urgent dès 1915 de les entrainer avec des exercices qui leur permettent de mieux s’adapter aux demandes. Ils seront alors rapidement entrainés en fonction de la nature de leur future charge et versés aux régiments de cavalerie ou d’artillerie, ou chargés du ravitaillement et du transport.
L’apprentissage reste limité, ils ne sont formés qu’au minimum, à savoir supporter un cavalier, un attelage, un bât, une charge et se renforcer physiquement pour tenir le plus longtemps possible.
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