Exposition virtuelle
Les équidés dans la Guerre
Un souvenir bien présent
Les équidés, en tant que compagnons de « misère » des soldats, reçoivent leur reconnaissance et leur soins. Des hopitaux vétérinaires sont créés non loin du front pour soigner les équidés bléssés. Abbeville dans la Somme accueille des hopitaux vétérinaires britanniques. Par des citations ou des décorations, les chevaux sont mis à l’honneur. Suite au conflit, une reconnaissance plus collective se met en place avec l’utilisation de photographies de presse, de cartes postales, de caricatures, de dessins… qui mettent en avant certains individus.
Les associations de protection des animaux veillent également au souvenir des sacrifices des animaux. Dans les pays anglo-saxons et germaniques de nombreux dons sont effectués pour permettre des soins adaptés aux survivants et améliorer leurs conditions de vie.
Enfin, des récits d’anciens combattants sont publiés suite à la fin de la guerre, soulignant la contribution animale et les sacrifices des animaux. Un certain anthropomorphisme se dégage souvent, avec des récits qui font parler les animaux à la première personne et qui témoignent des souffrances endurées par leurs maitres.
Quelques monuments commémoratifs sont également inaugurés, comme en Italie pour les mules ou en France et en Angleterre pour les chevaux.
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